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PATHOLOGIES

Qu’est ce qu’une tendinite dE L’épaule ?

Une tendinite d’épaule est une inflammation d’un ou de plusieurs tendons (c’est à dire l’extrémité d’un ou de plusieurs muscles) qui s’insèrent sur la tête humérale. C’est très souvent les muscles coaptateurs de le tête humérale ( tendinite supra épineux) qui sont incriminés et dénommés la « coiffe des rotateurs ». On dit souvent que l’épaule « vieillit pas sa coiffe ». En réalité, l’inflammation des tendons n’est qu’une première étape conduisant vers la dégénérescence des tendons, c’est à dire la rupture.C’est un symptôme évident de tendinite épaule

Le signes d’usure de ces tendons est la tendinite calcifiante. Les patients se demandent combien de temps dure une tendinite calcifiante de l’épaule. Le temps d arrêt de travail pour une tendinite est souvent de plusieurs semaines (1 à 6 semaines suivant les métiers). Les patients se demandent comment dormir avec une tendinite à l’épaule : on conseille souvent de mettre le bras en léger écartement (abduction) pour relâcher les muscles inflammés.

C’est quoi une épicondylite ?

Une épicondylite est l’inflammation des muscles épicondyliens. On entend par « épicondyliens » les muscles qui s’insèrent sur l’épicondyle, qui est une tubérosité osseuse de ll’extrémité distale de l’humérus. Ces muscles sont au nombre de 4 (le court extenseur radial du carpe, l’extenseur des doigts, l’extenseur propre 5, l’extenseur ulnaire du carpe) C’est principalement le court extenseur du carpe qui est le plus fréquemment retrouvé.

L’épicondylite est appelée dans le langage sportif usuel, le « tennis elbow ». Les huiles essentielles sont couramment utilisées (argile verte pour tendinite), le « beaume du tigre » l’utilisation d’une attelle de coude (immobilisation partielle) pour les tendinites peut être intéressante. Les ondes de choc pour ces tendinites (ODC) sont intéressantes.

Qu’appelle t on une tendinite au coude ?

Une tendinite du coude est l’inflammation d’un ou plusieurs tendon qui s’insèrent à la jonction de l’humérus, du raduis et du cubitus. On parle d’épicondylite (ou tennis elbow) pour l’inflammation de la partie externe du coude et d’épitrochléite (golf elbow) pour l’inflammation des muscles internes du coude. Le port d’une coudière peut être intéressante dans sa phase aigue. Un arrêt de travail est malheureusement rarement envisagé pour une tendinite de coude.

Est ce que le poignet est sujet aux tendinites ?

La tendinite du poignet fait parti des localisations majeures des tendinites. Ces inflammations sont surtout causées par des mouvements répétitifs (travail, sport). Citons les mouvements répétitifs de la souris pour le travail bureautique sans les confondre avec les syndromes canalaires (nerf médian, nerf cubital). Il peut apparaître une « boule » sur le trajet tendineux. L’utilisation d’une souris ergonomique peut être envisagée.

Plus rarement, il existe une tendinite extérieur c’est à dire des muscles externes ( Abducteur du I le plus souvent).

La tendinite des doigts (des tendions des muscles intrinsèques de la main) est rare et souvent a dissocier des maladies rhumatismales.

Qu’est ce qu’une tendinite du bras ?

La tendinite du bras n’est que très peu utilisé dans le jargon médical car c’est une dénomination extrêmement floue. Comme nous l’avons vu, la tendinite est l’inflammation d’un ou de plusieurs extrémité(s) musculaire (s). La tendinite du bras indique donc l’inflammation d’un ou plusieurs muscles du bras (tendinite du biceps ou tendinite du triceps).

Peut-on avoir une tendinite au genou ?

Du fait de la présence de nombreux tendons au niveau du genou, on peut tout à fait retrouver une inflammation des tendons qui s’insèrent au niveau du genou. La tendinite externe du genou est particulièrement sujette à la pathologie tendineuse (avec le fascia lata ou le ligament collatéral tibial). La tendinite interne du genou est parfois retrouvée (la tendinite de la patte d’oie). Sans oublier la tendinite rotulienne qui est très souvent retrouvée. Plus rarement, on retrouve une tendinite des ischio-jambiers surtout à leurs insertions distales.

C’est quoi une tendinopathie ?

Une tendinopathie est une atteinte mécanique et/ou inflammatoire d’un tendon (extrémité musculaire) le plus fréquemment retrouvé à la jonction muscle/tendon ou tendon/os. On ne devrait parler que de tendinopathie et pas de tendinite car la tendinite renvoit au suffixe « it » qui signifie inflammation. Comme on peut tout à fait avoir une atteinte tendineuse qui ne soit pas inflammatoire exclusivement (elle peut être mécanique ) et pour autant la dénommer tendinite. Il s’agit d’un contre sens. La tendinopathie est le terme médical adapté pour nommer une tendinite. Elle n’est pas reconnu comme une maladie professionnelle. Les tendinites à répétions sont elles dues a des carences ? On retrouve surtout une prédominance chez les personnes ayant une alimentation trop carnée. Certains propose de boire du jus de citron à jeun pour le traitement des tendinites.

La Tendinite de Dequervain ou communément appelée la tendinite du pouce :

La tendinite de quervain est issu nom d’un médecin Suisse (frédéric de quervain) qui décrit cette ténosynovite qui a été aussi été décrite auparavant comme l « aie  crépitant ».

On retrouve une sensation « neigeuse » sur le tendon lors de sa contraction. Affection fréquente lors des mouvements répétitifs dans certains sports ou certaines activités (jardin) et pendant la grossesse.

On note une nette prédominance féminine et l’âge d’apparition est entre 30 et 50 ans.

Il s’agit d’un conflit ostéo-fibreux aboutissant à un épaississement du fascia du long abducteur et du court abducteur du pouce.

La ténosynovite : c’est grave?

La ténosynovite est stricto sensu, l’inflammation du tendon et de sa gaine dans laquelle il coulisse. La symptomatologie présente des douleurs en en cas de mobilisation et de sensation douloureuse à la palpation. Le diagnostic est souvent clinique mais aidé par l’imagerie.

Une tendinite à la hanche, est ce possible ?

L’inflammation d’un ou plusieurs tendons de hanche est évidemment possible. C’est même relativement fréquent pour la tendinite moyen fessier, pouvant être évoquée à la radiographie devant une légère opacité en regard de ce tendon ou la tendinite du psoas pour les sportifs. Les patients se demandent souvent combien de temps dure une tendinite du moyen fessier. C’est souvent un diagnostic posé car tous les autres ont été écartés. Devant le nombre important de pathologies pouvant décrire ces symptômes, les temps de guérison sont tout aussi flous. La marche est possible avec une tendinite du moyen fessier. Est ce qu’un Ostéopathe peut guérir une tendinite du moyen fessier ? L’ostéopathe va travailler sur la cause de cette inflammation (recentrage de la tête humérale, liberté de la mobilité iliaque).

Peut on avoir une tendinite à la cheville ?

La tendinite Achiléenne (tendinite du tendon d’Achille) est probablement la tendinite la plus fréquente du corps. L’extrémité distale du triceps sural est souvent le siège d’inflammation du fait que ce muscle est l’un des plus puissant du corps. La pathologie du sport de résistance (fond, demi fond) est souvent pourvoyeuse de ce type de pathologie. L’infiltration du tendon n’est plus pratiquée du fait de son risque de nécrose et in fine de rupture.

Le remède de « grand mère » de la tendinite tendon d achille est le port de talonnette : l’ascension du talon de quelques millimètres diminue mécaniquement la sollicitation du tendon. La tendinite du tendon d’achile est souvent associée à une entorse de cheville.

QueLlE est la fréquence d’une tendinite au pied ?

Même si les autres tendons de la cheville sont atteints moins souvent, on peut retrouver une inflammation au pied des tendons des perronniers (tendinite tibial postérieur) associé au tendon d’Achille sur une cheville instable ou une l’inflammation des releveurs de la cheville par compression (chaussure de ski pour le skieur)

 

C’est quoi une tendinite ?

Une tendinite est stricto-sensu, l’ inflammation d’un tendon ou de sa gaine. Un tendon est constitué de fibres de collagène qui prolonge le muscle (comme une lame de cuir).

Les causes de tendinopathie sont souvent multi factorielles : traumatiques (choc, chute, atteinte directe) micro traumatiques (sollicitations répétés, travail à la chaîne, crispations, entraînements sportifs majorés avec les vibrations avec le tennis ou golf) microcristalines (pseudo-goutte), métaboliques, tumorales ou iatrogènes (infiltrations ou prise prolongées de corticoides, arthrose)

Comment savoir si on a CETTE PATHOLOGIE ?

Il s’ agit de déterminer la structure responsable de ces “tendinite symptômes”. Des examens complémentaires peuvent êtres demandés, type échographie, radiographie, arthroscanner ou IRM.

La localisation des douleurs est souvent retrouvée :

-au coude (golf ou tennis elbow)

-au genou (patte d’oie, tendinite rotulienne)

–  à la hanche : (moyen fessier, pyriforme)

– à l’épaule (supra et infra épineux)

– au poignet (tenosinovite ou ténosite de Dequervain)

– au pied : le tendon d’Achille,

Un tendon met entre 6 à 8 semaines pour se régénérer. En réalité, le traitement est souvent plus long car il est illusoire de pouvoir mettre au repos complet une partie du corps.

Comment faire pour traiter une tendinopathie ?

Il faut tout d’abord supprimer la cause quand cela lié à une activité (jardinage…) ou un geste sportif (travailler le bon geste sportif)

Le traitement médicamenteux peut être prescrits (antalgiques, anti-inflammatoires et infiltrations), de la cryothérapie (appliquer du froid) ou des ondes de chocs.

Cette thérapie classique diminuera les douleurs et l’inflammation sans traiter la cause.

L’Ostéopathie permet d’agir directement sur les causes en augmentant les chances de guérison et prévient d’éventuelles rechutes et la tendinite chronique.

L’ostéopathie permet de rééquilibrer les balances musculaires et libérer les articulations bloquées sous contraintes mécaniques.

un osteopathe a orleans pour le traitement de la Tendinite.

Les motifs rééls de consultations pour une tendinite sont dans la majorité des cas, des épicondylites ou épitrochléites (tennis ou golf elbow). Le traitement ostéopathique ne se borne pas au traitement des symptômes (du syndrome) mais de l’origine des douleurs, c’est à dire la cause (dysfonction osseuse ou articulaire entraînant l’inflammation)

 

LA TENDINITE DU GENOU :

1 : la tendinite dU genou  (de l’appareil extenseur : tendon rotulien, rotule, quadriceps)

Cette tendinite du genou intéresse le tendon rotulien plus souvent que le tendon quadricipital. Ce peuvent être des tendinites corporéales avec risques de rupture ou le plus souvent des tendinites d’insertion.

1.1 le terrain : le sportif : vélo, course, saut, provoqués par une pratique excessive, une technique défectueuse, un matériel inadapté.

1.2. la clinique :

c’est une douleur localisée sur la face antérieure du genou, d’horaire mécanique (après l’effort, cède dans un premier temps pendant l’effort) puis à la marche, à la descente et à la montée des escaliers, pas de gonflement mais des points douloureux précis (en raison de la localisation superficielle) sur le corps du tendon ou sur son insertion rotulienne ou tibiale. L’extension contre résistance peut réveiller la douleur.

1.3 Imagerie :

La radio standard permet d’écarter les dysplasies rotuliennes (incidence fémoro-patellaire)

L’échographie n’est pas indispensable pour prouver une atteinte cliniquement évidente.

 

1.4. le diagnostic de cette tendinite du genou Doit être différencié

*d’une apophysite de croissance de la tubérosité tibiale antérieure (maladie d’Osgood Schalter) mais âge, les tuméfactions douloureuses et les signes radiologiques diffèrent.

* Des autres causes de syndrome rotuliens (arthrose fémoro-patellaire, chondromalacie, séquelles de luxation récidivantes de rotule) qui ont leurs signes cliniques spécifiques ( rabot, douleur à la pression sur la facette postéro interne de la rotule, signe de SMILIE )

* en cas de rupture, le diagnostic est évident (sillon transversal) devant une impotence subite de l’extension active.

1.5. le traitement médical:

Le repos (suspension de l’activité, genouillère légère) les AINS éventuellement locaux, la physiothérapie

L’évolution de cette tendinite de genou est souvent émaillée de rechutes qui peuvent marquer un tournant défavorables dans la carrière du sportif.

Prudence dans les infiltrations, a réserver aux tendinites rebelles d’insertion.

1.6 le traitement Ostéopathique :

libération des restrictions de mobilité des mouvements mineurs du genou, de la tête perronnière, rééquilibrage des chaînes musculaires, des densités tendineuses.

2 la tendinite du genou au niveau de la patte d’oie :

C’est l’irritation de l’insertion tendineuse commune des trois muscles de la patte d’oie : sartorius, vaste interne et semi membraneux

2.1 le terrain :

Deux terrains possibles :

*classiquement, les femmes pléthoriques après la cinquantaine,

* mais aussi sportifs (courses de haies, tennis, ski, danse)

2.2 Clinique :

*douleur de rythme mécanique localisée à la partie supéro-médiale du tibia sous l’interligne fémoro-tibilale médian

* point douloureux localisé à 2cm sous l’interligne fémoro-tibiale interne. Parfois, discrète tuméfaction (bursite)

douleur en flexion contrariée et en rotation externe forcée

2.3 imagerie :

en radio standard, il faut pratiquer des clichés comparatifs en station debout pour dépister un pincement fémoral tibial débutant,

l’échographie permet de reconnaître les différentes lésions possibles : enthésopathie, rupture partielle ou totale, bursite superficielle ou profonde

L’IRM peut être utilisée pour faire un bilan du genou douloureux chez un sportif.

2.4. Diagnostic de cette tendinite du genou :

différentiel avec une lésion méniscale interne ou surtout méniscose interne au début d’une arthrose u compartiment interne.

Etiologiquement avec l’arthrose fémoro-tibiale externe sur genu valgum qui entraîne un surmenage de la patte d’oie et constitue une étiologie possible.

2.5 Traitement médical :

Repos, physiothérapie,

EN cas d’échec, infiltrations locales de corticoïdes mais se méfier des infiltrations superficielles sous cutanées (risque de nécrose ou d’atrophie cutanée)

3. La maladie de PELLEGRINI STIEDA : tendinite du genou

c’est une réaction inflammatoire douloureuse à l’insertion haute du Ligament latéral médian avec ossification para condylienne interne compliquant une entorse du ligament latéral interne.

3.1 Terrain : le patient a présenté un ou 2 mois auparavant, une entorse du Ligament latéral médian qui n’a pas été immobilisé. Les douleurs ont pris une tournure chronique avec flessum persistant ou s’aggravant.

3.2 Clinique : douleur, tuméfaction, rougeur, chaleur au niveau de l’insertion du Ligament sur le fémur. Point douloureux exquis à ce niveau avec nodule induré. Douleur à l moindre mise en tension du ligament (valgus, extension complète, flexion au-delà de 30°)

3.3 Imagerie : croissant calcifié dans les parties molles au niveau de la région paracondylienne interne.

3.4. Diagnostic de cette tendinite du genou :

*repose sur la radio effectuée devant la recrudescence des douleurs à distance d’une entorse,

a différencier d’un syndrome de palmer (cicatrisation en rétraction du ligament entraiantt un flessum mais la tentative de réduction du flessum y est peu douloureuse)

3.5 : traitement médical :

préventivement, une immobilisation correcte de l’entorse du Ligament latéral médian,

à la phase aiguë : AINS par voie générale plutôt que par voie locale, éviter tout massage ou frictions, si ces éléments sont insuffisants, injection d’anesthésiques et corticoïdes.

Au décours de la phase aiguë, récupérer doucement la mobilité du genou au fur et à mesure que la douleur s’atténue

L’évolution se fait en 2 à 3 mois vers l’indolence avec persistance d’une tuméfaction para-condylienne interne indolore.

3. 6 traitement Ostéopathique : assouplissement de la zone de rétraction par les techniques tissulaires, augmentation de la mobilité des mouvements mineurs du genou, harmonisation des chaînes ostéopathiques, assouplissement du fascia du ligament latéral.

4. les kystes poplités : tendinite du genou

Cette tendinite du genou s’agit en réalité d’une bursite (encore appelé kyste de BAKER) développée aux dépend de la bourse séreuse du gastropneviens et du semi membraneux. Cette bourse communique normalement avec l’articulation et l’épanchement qui la distend, vient en fait de la cavité articulaire par un mécanisme de soupape : le kyste poplité est en fait secondaire à une pathologie de l’articulation.

4.1 le terrain :

Dépend de l’arthropathie causale, souvent polyarthrite rhumatoïde ou gonarthrose

4.2. La clinique :

Discrète gêne poplitée à la flexion et à l’extension complète ou constations d’une tuméfaction lors de la palpation.

La ponction pratiquée après avoir éliminé un anévrisme (se méfier de toute tuméfaction sur un trajet artériel) ramène un liquide plus ou moins épais ; formule en rapport avec l’arthropathie causale.

4.3 Imagerie :

L ‘échographie objective la tuméfaction kystique et ses rapports anatomiques (si il en est besoin)

La radio standard peut traduire l’arthropathie causale de cette tendinite de genou.

4.4. Diagnostic de cette tendinite du genou :

Évidement clinique : le problème est de ne pas méconnaître l’arthropathie causale. Devant l’apparition d’un mollet volumineux et douloureux chez une personne porteuse d’un kyste de Baker, le problème d’une phlébite ou phlébite poplité peut être posée :

en cas de compression veineuse par la tuméfaction kystique qui peut être à l’origine d’une authentique phlébite,

en cas de rupture du kyste avec gonflement du mollet,

cette rupture pouvant entraîner une véritable phlébite surale.

4.5 le traitement médical : C’est essentiellement celui de l’arthropathie causale de cette tendinite. A noter qu’en cas d’infiltrations, il est habituellement inutile de piquer dans la tuméfaction kystique mais plutôt en intra articulaire puisqu’il y a une communication et que les corticoïdes injectes dans l’articulation seront pompés vers le kyste par le mécanisme de soupape qui a créer le kyste.

4.6. Traitement Ostéopathique : Il convient de rééquilibre l’articulation dans sa qualité de mouvement, les chaînes musculaires dans leurs diversités et retrouver une aisance articulaire du membre inférieur afin de libérer l’articulation et le kyste qui en résulte.

5.L’hygroma pré-rotulien : tendinite du genou

C’est une inflammation de la bourse séreuse pré-rotulienne en rapport avec des micro-traumatismes répétés.

5.1. Terrain :

professions exposées travail à genoux (carreleurs, religieux…)

5.2. Clinique : tuméfaction antérieure souvent d’aspect inflammatoire avec augmentation de la chaleur locale et douleur importante. Tendance spontanée à la chronicisation.

5.3 imagerie :

Elle ne présente pas d’intérêt.

5.4 Diagnostic de cette tendinite du genou :

Évidement cliniquement, le problème est d’éliminer une étiologie gouteuse ou micro cristalline.

5.5 Traitement médical :

repos, suppression du facteur provoquant (genouillère pour les carreleurs), glace

infiltrations locales si persistance (se méfier d’une sur infection sur cet épanchement superficiel)

les cas rebelles peuvent avoir une proposition de chirurgie.

5.6 Traitement Ostéopathique : retrouver une tension et une densité des zones inflammatoires quasi normale.

 

La tendinite du genou a orléans :

Les douleurs ab articulaires du genou sont diverses et variés et peuvent facilement se confondre ou se surajouter. L’Ostéopathe devra les distinguer et trouver la cause primaire afin de les traiter efficacement.

 

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